DAVID LYNCH a encore mélangé aujourd’hui avec hier, il a préféré les bois à affronter l’Abomination qui guette america. Il est parti avant de vivre dans une ville aimée dévastée par les flammes. Il nous reste à nous qui devons encore supporter les maux qui rongent notre monde, des fils impérissables, vivants, intrigants et stimulants. La Création contre l’abnégation.
Dès demain, amusons nous de la Folie des hommes.